Le Centre International de Médiation et d’Arbitrage de Mauritanie (CIMAM), institution rattachée à la Chambre de Commerce, d’Industrie et d’Agriculture de Mauritanie (CCIAM), organise deux journées de
vulgarisation et de sensibilisation sur l’importance de ses activités lundi et mardi (19 et 20 juin).
Ces journées sont dédiées aux hommes d’affaires, juristes d’entreprises et avocats, avec l’objectif de présenter « les différents modes de règlement des litiges : recours aux juridictions du service public de la justice, négociation, médiation, conciliation, transaction et arbitrage ».
La médiation est considérée comme « la voie adéquate de règlement des litiges commerciaux. La mission du médiateur est d’écouter les parties, confronter les arguments pour trouver un terrain d’entente, un accord accepté des protagonistes ».
Quant à l’arbitrage, il représente « un procédé de règlement privé de certaines catégories de contestation par un tribunal arbitral, auquel les parties confient la mission de les juger en vertu d’une convention d’arbitrage encadré par la CIMAM».
Soucieux de moderniser Nouakchott et d’en faire une ville un tant soit peu viable, le gouvernement a décidé de débloquer cinquante milliards d’ouguiyas MRO. Plusieurs départements ministériels sont concernés par cette mise à niveau dont le moins qu’on puisse dire est qu’elle a tardé.