Ce week-end de fin de Ramadan, précédant la fête de l’Eid-El Fitr, a été encore marqué par le problème récurrent du manque d’eau dans certaines zones de la commune de Riad (PK).
Une tension sur la disponibilité des ressources en eau, dont la conséquence est systématiquement la montée du prix du fût 200 litres, qui passe à 30 MRU à 50MRU, parfois 60 MRU.
Pire, ce week-end de veille de fête de Korité, on a battu tous les records de spéculation, avec des charretiers réclamant 150 MRU à 100 MRU, pour un fût acheté à 10 MRU à la borne fontaine.
Une situation anachronique dans une ville alimentée par une source d’eau pratiquement intarissable et dont des quartiers entiers n’arrivent toujours pas à boire à leur soif.