La cinquième édition du « Festival Ardine» organisé par la diva Aicha mint Chighaly, dans les locaux du Musée National, a débuté au cours de la nuit du vendredi 24 au samedi 25 décembre 2021, en présence d’un nombreux public.
L’ardine est défini comme « un instrument de musique à cordes d’Afrique de l’Ouest. C’est une harpe comportant un nombre variable de cordes (de 9 à 14) construite à partir d’une calebasse utilisée par des griottes en Mauritanie et dans tout le Sahara ».
L’objectif du festival est de contribuer à la préservation d’un outil important du patrimoine musical mauritanien menacé de disparition.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?