Le gouvernement mauritanien condamne comme « un acte barbare » l’attaque terroriste perpétrée vendredi après-midi à l’église « Notre Dame de Nice », une ville du Sud de la France « survenue le jour de la naissance du Prophète Mohamed (PSL), qui a apporté les significations de la miséricorde, les principes du pardon et l’instauration de la paix », dans une déclaration rendue publique vendredi soir.
La République Islamique de Mauritanie «a appris avec une grande tristesse, la nouvelle de l’attaque terroriste contre les fidèles de l'église « Notre Dame » de Nice, le jour ou la nation islamique commémore la naissance du Prophète Mohamed (PSL), qui a apporté au monde le sens de la miséricorde et les principes de la tolérances, et qui a œuvré à l’instauration de la paix et la fraternité entre les êtres humains, insistant sur le respect et l’honneur de l’homme, son auto-préservation, ainsi que le rejet du meurtre, de la violence et de la sédition.
En cette douloureuse circonstance, la République Islamique de Mauritanie présente ses condoléances au gouvernement français, aux familles des victimes et souhaite un prompt rétablissement aux blessés.
De la même manière, elle condamne l’offense aux religions et aux croyances, quelles qu’elles soient, rejette toute agression contre des innocents au nom de la religion, dénonce toutes les formes de terrorisme et d’incitation à la haine et au racisme, quelle qu’en soit l’origine, et réaffirme, en même temps, son adhésion totale aux valeurs humaines et aux principes de fraternité, de tolérance et coexistence que les religions ont toujours légitimés et consacrés ».
Par ailleurs, Nouakchott « réaffirme son adhésion totale aux relations amicales et la coopération avec la France, toujours fondées sur le principe d’amitié et de respect mutuel ».
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?