L'ancien président Mohamed Ould Abdel Aziz a comparu ce soir devant la police chargée de la répression des crimes économiques et financiers dans les locaux de la direction générale de la sécurité nationale. Ould Abdel Aziz répond à une convocation qui lui a été adressée par la police pour répondre à des questions liées à des présomptions d'implication dans des dossiers dans lesquels il a été cité par le rapport de la commission d'enquête parlementaire.
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?