Plusieurs membres de familles d’individus reconnus coupables d’actes terroristes et condamnés à de lourdes peines, ont envoyé lundi une correspondance, au président mauritanien, Mohamed Cheikh El Ghazouani, pour demander la libération de ces derniers.
Ces proches des détenus dits «salafistes » espèrent que le début de règne du président Mohamed Cheikh El Ghaouani, élu le 19 juin et investi le 01 août 2020 « caractérisé par le rétablissement de l’Etat de droit et des libertés fondamentales, aura pour conséquence la réparation des injustices et la libération de ces détenus ».
Parmi ces prisonniers, plusieurs ont été reconnus coupables d’attentats terroristes ayant entraîné la mort de militaires et des touristes français, le 24 décembre 2007 prés d’Aleg (250 kilomètres au Sud/Est de Nouakchott).
La prévarication et la gabegie ont-elles encore de beaux jours devant elles ? Jusqu’à quand le détournement des deniers publics restera-t-il le sport favori de nos (ir)responsables ? La lutte contre de telles pratiques que tout gouvernement chante à tue-tête ne serait-elle qu’un vain mot ?