
Les Mauritaniens, personne ne sait où faut-il « leur venir ». C'est-à-dire : comment savoir ce qu'ils veulent… s'ils le savent réellement.
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.