J’ai assisté les mercredi et jeudi passés à la réunion tenue avec la délégation officielle chargée d’écouter et d’enregistrer les doléances des populations de la wilaya du Trarza.
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.