« N’est jamais content celui qui se remémore », nous enseigne un adage populaire. Une invitation claire à ne jamais prendre le risque de revenir en arrière, comme on aime à dire en Mauritanie. Il faut regarder l’avenir en face.
Des bureaux de vote avec plus de votants que d’inscrits ; des présidents de bureaux qui refusent de remettre les procès-verbaux aux représentants des partis ; un candidat qui a voté avec sa famille dans un bureau et se retrouve avec zéro voix ; un informaticien qui prend ses aises en améliorant les scores d’un parti et qui a été