
Un demi-siècle s’est écoulé depuis le massacre, à Zouerate, des ouvriers de la Société des Mines de fer de Mauritanie (MIFERMA) par la soldatesque armée de notre pays.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.