
Il y a quelques jours, précisément le vendredi dernier 15 Mars, un citoyen habitué à se rendre au Port de Nouakchott pour des raisons professionnelles constatait que la route reliant cette infrastructure au marché de poisson avait
Comme si les coupures d’eau et d’électricité ne suffisaient pas. Voilà que des incendies entrent dans la danse macabre. Et pas n’importe lesquels : ceux de tonnes d’ordures accumulées en plein centre-ville, qui plus est entre deux hôpitaux : le CHN et celui de traumatologie. Une scène digne de l’Apocalypse.