“Si les rescapés ou victimes harratines ont été oubliés ou ignorés, c’est parce qu’ils considérés par l’Etat et ses tortionnaires comme des descendants d’esclaves »
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.