
Ces derniers jours et ce, sans grande surprise, l'Association des Uléma Mauritaniens s'est fendue d'une déclaration qui légitime les pratiques esclavagiste en Mauritanie.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.