
Le début du mois d’août approche à grand pas.
L’hivernage, source de multiples désagréments pour les populations de Nouakchott, est attendu avec une grosse peur.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.