
Beaucoup de jeunes mauritaniens s’engagent de plus en plus dans l’action associative. Dans ces dernières années, on sent un vent de rajeunissement traversant la société civile mauritanienne.

Ils sont camionneurs, livreurs de pizzas, plongeurs dans les restaurants, taximen, gardiens d’immeubles que l’ignorance crasse a chassés de leur pays. Les autres, locaux ceux-là, sont soit chômeurs désœuvrés, soit délinquants en rupture de ban, soit aigris par une vie qui a souri à d’autres.