Après la sanglante répression de sa marche pacifique de jeudi dernier, le mouvement abolitionniste a décidé désormais d'« accentuer la pression dans la rue, sur le plan judiciaire et diplomatique.
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.