
Le pays a rarement été aussi calme. Un an après la confortable réélection de Mohamed Ould Abdelaziz, les politiques se concentrent sur… la présidentielle de 2019. Et en attendant, rien ne semble plus bouger.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.