
Le blues des « banlieusards » tourne au calvaire. Les dernières averses sur Nouakchott mettent en lumière la fragilité de son quotidien ; surtout celui des quartiers périphériques, complètement paralysé par les précipitations.
On ne le dira jamais assez. La lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion et le détournement des deniers publics est un combat de longue haleine. Il ne suffit pas de la proclamer mais il faut la mettre en œuvre par des mesures fortes. Radicales, s’il le faut.