Un quart de siècle après les faits, la Mauritanie est toujours hantée par les démons d’un passif humanitaire dont les comptes tardent à être soldés.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.