
Depuis que le salafiste Saleck Ould Cheikh s’est évadé de la prison civile de Nouakchott, c’est le branle-bas de combat dans la citadelle du silence.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.