Amnesty International (AI) n’a pas été tendre. C’est le moins qu’on puisse dire. Elle a dressé un tableau particulièrement sombre de la situation des droits de l’homme et des libertés en Mauritanie.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.