
Bon, on disait anciennement que si l’imam est frappé, le muezzin prend peur. Chez nous, nul n’est au-dessus de rien du tout même s’il est député.
Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)