
Le collectif des veuves et orphelins des exactions commises dans les casernes militaires des années 89-91 ont organisé une marche spontanée, le 28 novembre à Nouakchott.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.