
C'est avec une grande tristesse que me revient le souvenir de la disparition de Mohamed Yehdhih ould Breidelleil que je rencontrai pour la première fois en 1968.

Coupures d’eau, d’électricité et d’Internet récurrentes, alors que s’accroissent les difficultés à joindre les deux bouts – du mois, pour ceux qui ont la chance d’avoir un salaire régulier, aussi faible soit son montant –, voilà largement de quoi indigner nos populations devant les énormités des manquements gestionnaires relevés