
Vendredi, j’apprenais avec tristesse et consternation le décès brusque de l’une des chevilles ouvrières de la Mauritanie contemporaine et fondateurs de la République Islamique qui s’étaient investis corps et âme, toute leur vie du
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.