
C’est, je crois, la quatrième fois que l’on organise un dialogue depuis la chute du président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi. A chaque fois les résultats de ces dialogues furent en deçà des attentes.
Une page se tourne mais l’histoire n’en est pas finie pour autant. Le procès en appel d’Ould Abdel Aziz, de deux anciens Premiers ministres, de hauts responsables et des hommes « à tout faire » a rendu son verdict… mais l’affaire n’est toujours pas close.