
Enfermés dans leur tour d'ivoire, cédant aux délices de la vie et au culte de la personnalité, les gouvernants arabes se sont éloignés à grandes enjambées, des enseignements du Coran et de la Sounna du Prophète.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.