
Un bel adage naquit, au temps de la guerre du Sahara. Relevant la capacité des militaires à se substituer les uns aux autres, les femmes disaient : « un militaire meurt, un autre le remplace ».
Le Calame : Assalamou aleykoum, Monsieur le président !
Le président Ghazwani : Aleykoum Essalam ! (Il commence à invoquer Allah et son Prophète (PBL) et récite plusieurs versets du Saint Coran pointant un doigt dans chaque direction cardinale…)