
La folie n’a pas de préférence. Très démocratique, elle n’est pas comme la Mauritanie. La folie peut atteindre les hommes. Elle peut atteindre les femmes. Elle peut atteindre les enfants. Même les urnes peuvent devenir folles.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.