
Jamais une conférence de presse n’a autant marqué les esprits que celle à laquelle s’est prêté, jeudi dernier, Ould Abdel Aziz. Non pas pour ce qui y a été annoncé, loin s’en faut.

Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.