
Mars 2002, quartier Gazra Bouhdida de Nouakchott, vers trois heures du matin, une femme dort avec ses deux fillettes. Son mari transporteur est absent. Soudain, la porte de la chambre de fortune est brutalement forcée.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.