
La police convoque l’ex-Président. Elle le relaxe. La police convoque l’homme d’affaires X… et le relaxe de même. La police convoque l’ex-ministre Y… et le relaxe itou. C’est entré par ici, c’est ressorti par là.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.