
Jeudi dernier, des centaines d’hommes et de femmes, pauvres, pour la plupart, sinon tous, se regroupent dans une enceinte où un riche homme d’affaires de la place a décidé de leur distribuer sa zakat (aumône religieuse) annuelle.
Des tribus qui se réunissent au vu et au su de tous pour choisir leurs chefs. D’autres qui organisent des festivals ouvertement en leur nom.