
Suite au scandale de déterrement de la dépouille d’un malien dans le cimetière de Selibabi, trainée sur plusieurs mètres par une foule en état d’extrême excitation, les autorités centrales ont eu la main lourde.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.