
Aag’bak lekh’bit ett’wassatt…oulat’leu vil’winsseu yarbatt…Wa’aftout idriss we’tmarbatt…aag’bak wich’teddou lar’haal…aag’bak willi ma yakh’batt…aag’bak ma yakh’batt mezaal.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.