
J’ai lu, avec une consternation non feinte, la dernière lettre du journaliste Mohamed Saleck Beheit au président de la République, parue dans les colonnes du journal Le Calame.

Le docteur Nedhirou ould Hamed s’y essaya en son temps et fut emporté par le courant qui charrie tous ceux qui essayent de mettre un peu d’ordre dans le secteur pharmaceutique de notre pays.