Impossible maintenant de parler, écrire ou faire quoi que ce soit d’autre sans avoir en tête, dans les yeux et le nez, entre les oreilles, sur la peau et la langue (les cinq organes de sens, en somme… et le sixième en prime !) cet
Mohamed Ould Bouamatou est rentré au pays la semaine dernière. Après dix ans d’exil auquel l’avait contraint l’ex-président Ould Abdel Aziz. Mohamed ould Debagh et Moustapha ould Limam Chafii le suivront incessamment.
Cela fait six mois que le nouveau Président élu a pris fonction. Bien qu’il soit encore tôt pour émettre un quelconque jugement sur son action, certains s’y sont employés. Les avis sont mitigés.
«Où fuir», se demandaient naguère les anciens, «quand le cri vient de la montagne?», constatant, par ailleurs, «que le plus grand, c’est l’éléphant et que celui-ci ne prie pas».
Alors qu’on la croyait morte et enterrée, la commission parlementaire chargée de faire la lumière sur un certain nombre de dossiers et d’affaires louches qui ont émaillé la dernière décennie refait à nouveau surface. Devant les at
Joao Lorenço, le nouveau président angolais, veut-il vraiment – le cas échéant, pourra-t-il – récupérer les quelque soixante milliards de dollars qu’auraient détournés soixante-douze dignitaires du régime précédent dirigé de main
Le 21 Janvier dernier, lors de l’émission « Des paroles et des actes », animée par David Pujadas sur France 2, l’essayiste Alain Finkielkrault et le politique Daniel Cohn-Bendit croisaient le fer.