
A l’instar de ses prédécesseurs, le régime mauritanien actuel continue à se complaire dans le déni des pratiques esclavagistes et l’entrave délibérée de l’application des lois incriminant ces dernières.

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.