Les media constituent un véritable espace public de débats et de relais d’opinions des citoyens. Chez nous, en Mauritanie, on vit, avec passion, cette proposition.
Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.




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