Non pas, bien évidemment, que la publication des caricatures du Prophète ne fut pas condamnable mais le jugement relevait d’une Cour pénale, d’un débat citoyen où le droit des communautés se serait taillé place raisonnable, face à
Un homme particulièrement méchant tomba, un jour, grièvement malade. Une femme qui n’avait pas échappé à ses médisances le croisa dans la rue après son rétablissement. « J’ai pensé être victime d’un empoisonnement », lui révéla-t-il. « Tu t’es donc mordu la langue », lui répondit-elle.




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