
Le Ramadhan, mois béni, réservé aux prières désabusées, et aux macérations ne devait pas connaitre de paroles ou d’articles écrits à la plume trempée dans le fiel ou le vitriol.

On n’en attendait pas moins mais… mieux vaut tard que jamais ! Le Président l’a mis en exergue lors d’un speech prononcé à N’Beïket Lahwach et s’est montré ferme : tout fonctionnaire est un représentant de l’État, non seulement au bureau mais, également, en dehors de celui-ci.