
La dynamique, si dynamique, il y a, du moins nous l’espérons, initiée par le changement à la tête de l’Etat et par l’entrée récente de la Mauritanie dans le club restreint des pays producteurs d’hydrocarbures, doit être un appel à
On ne le dira jamais assez. La lutte contre la gabegie, la mauvaise gestion et le détournement des deniers publics est un combat de longue haleine. Il ne suffit pas de la proclamer mais il faut la mettre en œuvre par des mesures fortes. Radicales, s’il le faut.