
L’avion volait à une altitude moyenne au-dessus de Legrara. Bien calé dans son siège, le pilote, qui, pendant les reconnaissances ne mettait jamais le pilotage automatique, tenait le manche de l’avion à deux mains.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.