Dans notre pays, l’élevage demeure, malgré le peu d’intérêt que les pouvoirs publics lui accordent, et les ravages des sécheresses catastrophiques, une activité vitale pour une grande partie de nos populations.
Coupures d’eau, d’électricité et d’Internet récurrentes, alors que s’accroissent les difficultés à joindre les deux bouts – du mois, pour ceux qui ont la chance d’avoir un salaire régulier, aussi faible soit son montant –, voilà largement de quoi indigner nos populations devant les énormités des manquements gestionnaires relevés