
Un Bosseur [1] répara peut-être le vase de Soissons mais, médecin, mon ancêtre Mabon n’en avait pas moins réparé des corps et des âmes, au temps du roi Arthur.

L’affaire dite du laboratoire de police, construit et équipée par une société anglaise aux normes internationales, continue de susciter un vif intérêt dans l’opinion publique mais n’en a pas moins connu son épilogue la semaine dernière.