
Je le soutenais, dans l’article précédent, la rationalité de la démocratie nous impose de reconnaître, au Président Ghazouani, le droit constitutionnel et légal d’exercer le pouvoir, dans toute la plénitude de ses prérogatives.

Un célèbre proverbe français nous apprend, à juste titre, qu’il ne faut pas vendre la peau de l’ours avant de l’avoir tué. Lors de sa dernière visite au Hodh Ech-Chargui, Ghazouani l’a répété – mais indirectement – aux membres de son équipe, à ses soutiens et à tous ceux qui veulent l’enterrer tôt.