
Jusqu’à peu de temps avant les élections, Ghazouani se complaisait dans la stature d’un homme de l’ombre qui préfère rester isolé tout en jouant, a minima, le rôle de dauphin de Ould Abdel Aziz.
Dans son classement annuel qui sert de baromètre à la liberté de presse dans le Monde et publié chaque année le 3 Mai, à la veille de la Journée mondiale de la Presse, Reporters Sans Frontières (RSF) a rétrogradé la Mauritanie de la 33ème place qu’elle occupait l’an dernier à la 50ème. Pourquoi, à votre avis ?