Le dernier sommet de la Ligue arabe s’est tenu le 25 juillet, à Nouakchott, en Mauritanie, en présence de seulement six chefs d’État.
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.