Tout fait croire que le régime a peur de voir Mohamed Ould Bouamatou basculer du côté de l’opposition et aller à la conquête de la présidence de la République. Un challenger dangereux pour le président de la République.
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.