La corruption est une abomination. Elle est l’acte le plus vil qu’une personne puisse commettre, de quelque côté qu’elle soit, donneur ou receveur. Cet acte honni et condamné par toutes les croyances couvre de multiples champs.
« Ambiguïté délibérée » : voilà comment Ehoud Barak, alors ministre de la Défense de l’entité sioniste, désignait, en 2010, la stratégie nucléaire de son gouvernement ; « une bonne politique, en entente totale avec les États-Unis », tenait-il, sibyllin, à préciser.