
Ma relation avec mon frère et cher ami Feu Ahmedou ould Mohamed ould Abel Aziz avait débuté au milieu des années quatre vingt-dix. Je l’avais connu depuis lors accueillant et toujours souriant.
Depuis quelques semaines, la presse régionale et même internationale – RFI se chargeant d’en mettre une bonne couche… – fait ses choux gras du traitement par la Mauritanie de la question des immigrés.