
J’ai lu ces jours, non sans sourire, dans Le Calame, l’interview de mon compatriote Boydiel Ould Houmeid que je respecte.
À Teyarett, un des quartiers populaires de Nouakchott où la criminalité est minime, en comparaison de certaines moughataas où il ne fait pas bon mettre le nez dehors, à partir d’une certaine heure de la nuit, une jeune femme descend d’un taxi en pleine journée.